Norvège – 25/11/2021 – energiesdelamer.eu. Fondée en 1848 par l’ainé de trois frères marins, Fredrik Christian Olsen, Fred. Olsen & Co. est à l’origine une compagnie maritime basée dans le village de Hvitsten, en Norvège, près d’Oslo. La société holding norvégienne Bonheur qui a donné le nom et de la date à laquelle la compagnie maritime a commencé ses activités, se concentrera sur le développement et la commercialisation de nouvelles technologies liées aux énergies renouvelables.
Ayant son siège à Oslo et des intérêts dans l’énergie, le transport maritime et d’autres secteurs, Bonheur a déclaré qu’elle s’appuierait sur sa « solide expérience dans le domaine des énergies renouvelables » pour mener les efforts visant à développer « les solutions énergétiques durables de demain ».
Fred Olsen 1848
« Nous voulons être à l’avant-garde du développement des technologies de demain dans le domaine des énergies renouvelables et devenir ainsi le partenaire privilégié des entreprises et des organisations à la recherche de la bonne solution », a déclaré Sofie Olsen Jebsen, directrice générale de Fred Olsen 1848.
Fred Olsen 1848 a développé une solution de port mobile qui utilise des navires d’installation jack-up dans des eaux abritées pour l’intégration de l’éolienne à la structure de fondation flottante.
L’entreprise développe Brunel, un concept modulaire pour les fondations d’éoliennes flottantes qui convient à la production en série et automatisée, permettant une mise à l’échelle instantanée à faible coût, affirme-t-elle.
Fred Olsen 1848 travaille également sur une solution visant à améliorer la maintenance des éoliennes flottantes – un élément crucial pour réduire le coût de l’énergie éolienne flottante.
POINTS DE REPÈRE
Les grands événements de 1848 : Oscar Ier roi de Norvège et de Suède entre 1844 et 1859 est le seul fils de Charles III Jean ( né Jean-Baptiste Bernadotte, ancien maréchal d’Empire français adopté par Charles II et de la reine Desideria.
Le Royaume-Uni, la Belgique, l’Espagne et la Norvège connaissent quelques mouvements d’agitation et de soutien aux insurgés des autres pays, mais qui n’aboutissent pas, mais rien à comparer avec la France ou l’italie. Seule la Russie reste totalement à l’écart du mouvement, même si les émigrés russes ne sont pas les moins actifs. 1848 ne se comprend pas sans 1815. Le Printemps des peuples est en effet une conséquence directe du congrès de Vienne et de la compression par la Quadruple Alliance et la Sainte-Alliance des aspirations nationales et libérales qui se sont fait jour pendant la Révolution et l’Empire.
1848 ne se comprend pas non plus sans 1830 et les premières remises en cause de 1815 : la proclamation de la souveraineté nationale par le nouveau roi-citoyen Louis-Philippe en France, l’indépendance de la Grèce et de la Belgique, le soulèvement de la Pologne contre l’occupant russe et d’une partie de l’Italie contre ses princes.
1848 ne se comprend pas enfin sans l’essor démographique et sans la crise économique et sociale qui a éclaté quelques mois plus tôt dans la plus grande partie de l’Europe et qui est d’autant plus grave qu’elle est pour la première fois agricole, industrielle et commerciale. En un demi-siècle, la population européenne a augmenté de 25 à 45 % d’habitants selon les pays, pour un total de près de 80 millions. L’onde de choc dépasse le cadre européen. Et, par le biais des empires coloniaux, les décisions prises en un pays suscitent des espoirs ailleurs. Ainsi, les décrets des 4 mars et 27 avril 1848 qui abolissent l’esclavage dans les colonies françaises ont des répercussions à Cuba et à Porto-Rico. (source : Université Sorbonne)
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