France – Vendredi 14/06/2019 – « Le Premier ministre confirme la volonté du Gouvernement de développer massivement l’éolien en mer en augmentant le rythme des futurs appels d’offres et répond précisément aux attentes du Syndicat des énergies renouvelables » mentionne le communiqué de presse diffusé le 13 juin. Comme nous l’avions annoncé hier, François de Rugy se rend à l’usine General Electric à Montoir puis à Saint Nazaire aux Chantiers de l’Atlantique ce matin où des précisions pourraient être apportées pour la PPE.

A l’occasion de sa deuxième déclaration de politique générale le Premier ministre, Edouard PHILIPPE, a déclaré vouloir « développer massivement les énergies renouvelables et notamment l’éolien en mer ». Faisant référence à l’appel d’offres de Dunkerque dont les résultats devraient être connus très prochainement, il a souligné que les baisses des coûts plus rapides qu’attendues vont permettre « une augmentation du rythme des futurs appels d’offres à 1 GW par an »

 

A cette occasion le Premier ministre a également déclaré que le développement de l’éolien en mer est « une bonne chose pour le prix de l’électricité, pour notre industrie et pour notre planète ». 

Edouard PHILIPPE a entendu les attentes de la profession et des Régions littorales qui réclamaient une révision à la hausse des objectifs du projet de PPE à hauteur d’1 GW par an. Cette révision à la hausse de l’ambition de la PPE constituait une priorité absolue pour l’ensemble des acteurs de la filière, y compris les Régions littorales, qui ont consacré des investissements importants pour le développement de cette filière dans l’objectif de dynamiser les territoires et de créer des emplois.

« Nous sommes très satisfaits de la décision du gouvernement qui témoigne de la très grande maturité de cette technologie appelée à jouer un rôle de tout premier plan dans le mix énergétique français. » déclare Jean-Louis BAL, Président du SER.

 

Points de repère

 

13/06/2019 – François de Rugy chez GE pour le projet éolien en mer de Saint-Nazaire

 

A l’occasion de sa deuxième déclaration de politique générale Edouard Philippe a obtenu le 12 juin un vote de confiance des députés avec 363 voix pour et 163 voix contre, et le 13 juin d’une majorité d’abstentions au Sénat, où, sur 345 votants, 181 sénateurs ont choisi l’abstention, 93 se sont prononcés contre, seuls 71 votants pour. Contrairement à l’Assemblée nationale, ce vote dit « d’approbation » au Sénat, où le parti présidentiel LREM est minoritaire, n’engage pas la responsabilité du gouvernement.


Publicités Google :