France – Singapour – Mercredi 08/08/2018 – energiesdelamer.eu. Tim Cornelius, CEO de SIMEC Atlantis Energy (ex Atlantis Resources) a déclaré qu’il pourrait engager des discussions avec le gouvernement français pour sauver l’usine d’assemblage de Cherbourg de Naval Energies et se positionne pour les appels d’offres en Normandie et en Bretagne.
En effet, au début de l’année, Tim Cornélius avait soumis au gouvernement français une proposition pour un projet de 1 GW au Raz Blanchard, à un tarif inférieur d’ici 2025 au prix actuel de l’éolien en France.
« SIMEC Atlantis peut livrer d’une part des fermes pilotes en Normandie dans le cadre des mécanismes de soutien existants pouvant être opérationnels en 2019/20 et d’autre part à échelle commerciale à moins de 70 € / MWh d’ici 2025, rendant la production d’énergie hydrolienne très compétitive dans les eaux territoriales françaises « , a déclaré Tim Cornelius.
Retour sur images
Dès le 27/07/2018, Tim Cornelius avait réagi après avoir pris connaissance de la décision de Naval Energies de cesser les investissements dans sa filiale OpenHydro.
Il avait laissé entendre que la société SIMEC Atlantis Energy était prête à reprendre l’usine de Cherbourg si un accord pouvait être conclu avec le gouvernement français en Normandie et en Bretagne. Sa déclaration avait suivi de seulement quelques heures l’approbation de la commission européenne relatives aux subventions versées par l’Etat français pour la ferme pilote.
L’avantage SIMEC Atlantis Energy
SIMEC Atlantis semble être à court de capacités sur le site de Nigg Energy Park en Écosse. En récupérant les nouvelles installations de Cherbourg construites par Naval Energies pour la maintenance et l’assemblage des turbines hydroliennes du projet Normandie Hydro, SIMEC Atlantis pourrait, en cas de succès, assurer son développement, des deux côtés de la Manche.
En accord avec OpenHydro et ses employés, SIMEC Atlantis a déclaré qu’ils continueraient à travailler avec les gouvernements, les régulateurs et les développeurs du monde entier pour réaliser des projets d’énergie marémotrice à l’échelle du LCOE.
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