que prévoit d’installer l’Allemagne en mer du Nord et dans la Baltique.
Source : L’Union
WOLFSCHLUGEN – (Allemagne) – 28/02/2012 – mer-veille.com / MRE
Francis Rousseau
Windreich AG est un groupe d’entreprises qui s’est constitué depuis 25 ans une réputation de solidité financière éprouvée et qui se présente comme un acteur décisif de l’approvisionnement énergétique de demain. Aujourd’hui le Groupe Windreich agrège toutes les activités éoliennes qui étaient exercées jusqu’en 2009 par FC Holding GmbH.
Le dynamisme de Windreich sur le marché de l’éolien est en grande partie dû à la personnalité de son fondateur et pionnier Willi Balz qui a su en faire un groupe désormais incontournable sur le marché européen généralement peuplé de géants multinationaux. Un peu à l’image de l’indien Suzlon au milieu des années 1990, et de son charismatique fondateur Tulsi R. Tanti, Windreich, fort des rendements positifs qu’il propose à ses nombreux investisseurs a décidé de s’attaquer, à ce qu’il considère comme le segment le plus porteur du marché éolien dans le futur : l’offshore.
Pour le groupe »l’offshore offre des perspectives de croissance que presque aucun autre secteur des énergies renouvelables n’est à même d’offrir ».
Willi Balz, a reçu en janvier dernier à Londres le prix “Wind Deal of the Year” organisé par Project Finance international pour le parc éolien offshore “Global Tech I”.
Le capital Global Tech I est détenu par les deux entreprises d’approvisionnement en énergie Stadtwerke München GmbH et HSE AG (Darmstadt), la société européenne de négoce de l’énergie EGL AG et Esportes Offshore Beteiligungs GmbH. Elle a également pour actionnaires les deux entreprises de développement de projets Norderland Projekt GmbH et Windreich AG ainsi que les deux entreprises du groupe Windreich, FC Windenergy GmbH et GTU I GmbH
Les besoins en capitaux étaient évalués à plus d’un 1 milliard d’euros en 2011. La Banque européenne d’investissement (BEI) et un consortium de 16 banques d’affaires avaient signé un prêt le 7 juillet dernier, à Hambourg dont le Nord LB, le Groupe Dexia et la Société Générale. La BEI contribue pour sa part pour 500 millions d’euros. BB
Sources : L’UNION (Champagne Ardenne Picardie), Dow Jones News, Business Wire, energiesdelamer.blogspot.com
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